En marge de l’étude initiée par le Syndicat National des Entreprises Gaies en partenariat étroit avec l’Institut de Recherches I-PSR, Citégay et avec la participation de la Direction Générale de la Santé, une nouvelle campagne de prévention prenant en compte les résultats de l’étude menée est lancée.
Alors que le désir dans sa dimension d’excitation apparaît comme un facteur de risque de relâchement face aux comportements Safe, la campagne ciblée vient rappeler la nécessité de se protéger tout en opposant et rappelant le principe de coresponsabilité, fondement de nos politiques de santé publique sur le sujet.
La campagne qui suit l’étude menée auprès de 3000 répondants utilisateurs du Net vise à briser un tabou qui pesait jusqu’ici sur les actions de prévention. L’étude a démontrée que les facteurs de risques intentionnels étaient faibles comparativement à des facteurs plus diffus et incinieux : l’état dépressif, le désir sexuel, l’optimisme fasse aux nouveaux traitements…
Aussi, cette nouvelle campagne s’inscrit dans une nouvelle dynamique de prévention qui ne se limitera pas à rappeler la nécessité de se protéger ou que l’épidémie sévit toujours mais mettra également l’accent sur les facteurs de risque psychologiques mis en évidence. Elle commence par un scénario vérifié dans les déclarations soit « On a parfois envie de se dire que baiser sans capote, ce n’est pas si grave. ..»
