La présentation du programme du 20e Festival international du Film fantastique de Bruxelles réserve quelques surprises : le film « Don’t ask, Don’t tell » sur le traitement de l’homosexualité dans l’armée américaine, est présenté comme une oeuvre cinématographique « déviante ».
« L’armée américaine va mal. Très mal. Les bases mêmes de la franche camaraderie velue des hordes bottées, (…) impénitentes tarlouzes, sont rongées par un insidieux virus : l’homosexualité… », précisent les organisateurs.
Avant d’ajouter un peu plus loin : « le projet de « Don’t ask, don’t tell » est certes déviant, mais pas uniquement du point de vue de son scénario ».
Nous sommes prévenus.