En ce milieu du XIIIe siècle, le futur sultan de Kazarkhan, Djamil, est un jeune prince poète, musicien et. amoureux des garçons. La politique, la guerre, les femmes ne le passionnent guère et lorsque, comme le veut la tradition locale, il doit prouver sa virilité en déflorant une jeune vierge au soir de ses seize ans, il préfère laisser à son page, Selim, le soin d’accomplir cette besogne.
Cette dérobade va bouleverser le destin des deux garçons mais aussi celui de Dalia, la jeune fille choisie pour le rituel – Dalia qui, secrètement amoureuse de Selim, a fui son village pour échapper à un mariage forcé avec un vieux cousin.
La révélation que l’enfant qu’elle porte n’est pas du Prince signerait leur arrêt de mort à tous trois. D’autant que la fin du règne du père de Djamil suscite ambitions et convoitises parmi ceux qui, détenant le pouvoir de l’or et le pouvoir de Dieu, ne voient pas d’un très bon oil l’arrivée sur le trône de Kazarkhan d’un prince si peu conventionnel.
Avec Le Prince de Kazarkhan, Nicolas Henri, auteur de La nuit de Mortefagne (H&O) et de Bleu Caraïbes (Cylibris), nous entraîne au cour d’un Orient mythique et sensuel pour les Mille et une nuits gay !
Nicolas Henri
Nicolas Henri a obtenu le « Prix du roman gay 2004 » pour son premier ouvrage, « Bleu Caraïbes ». Avec « La nuit de Mortefagne », il signe un nouveau coup de maître : le récit initiatique croisé de trois jeunes gens en quête de leur vraie personnalité.
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