Comment expliquer la longévité du phénomène Plastic Bertrand, la rock star des années 80 dont le tube mondial « Ça plane » pour moi est désormais devenu un classique du genre ?
Éternellement reprise, sa musique, reconnaissable entre toutes, signe un style à la fois désinvolte et canaille qui a marqué la mémoire collective.
Les remakes des groupes américains Sonic Youth, The Presidents of the United States of America ou Red Hot Chili Peppers, révèlent son rayonnement bien au-delà des frontières.
Tout comme la présence de chansons emblématiques sur nombre de bandes originales de films.
Mais que dissimule le mythe de Plastic Bertrand ?
La marque d’une médiatisation à outrance qui réussit à prolonger la jeunesse de ses titres bien au delà de leur durée de vie ? A moins que le personnage lui-même n’y soit pour quelque chose.
Car Plastic Bertrand a beau avoir tout connu, la pure mégalo du sex, drugs & rock’n roll au sommet de sa gloire, avec palaces, champagne et limousines, ou la profonde dépression des retours de fortune implacables, il a su conserver son âme de punk gentil.
Cette autobiographie qui arrache autant de larmes que de rires, livre le secret de sa puissante faculté d’autodérision. Pour mieux planer au-dessus des vicissitudes et excentricités d’un destin de star.
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