in

Une fenêtre à Copacabana

De sa fenêtre d’un immeuble de Rio, un soir, une femme voit dans un appartement deux personnes se quereller, puis un sac à main voler en l’air.

Alors qu’elle regarde le sac sur le trottoir, un corps vient s’écraser à côté, et il n’y a plus personne dans l’appartement.

Depuis quelques jours, le commissaire Espinosa, épaulé par son fidèle Welber, enquête sur les assassinats, commis avec un sang-froid étonnant, de trois policiers. Fouillant la vie de ces flics ordinaires, ils commencent à soupçonner l’existence d’une bande gérant les pots-devin distribués aux policiers.

Inutile de dire que cela gêne du monde dans la police, du bas de l’échelle aux plus gradés, et que la règle d’or est : « Jamais entendu parler. »

L’ennui, c’est que deux maîtresses de ces ripoux sont elles aussi retrouvées assassinées, et qu’on parle d’une femme « suicidée » en se jetant par la fenêtre du haut d’un immeuble à Copacabana.

Espinosa, homme tranquille qui a trouvé en Irene la compagne idéale, bonne amante et peu encline à la vie commune, se retrouve en quelques jours gentiment courtisé par deux autres jolies femmes : Celeste, que l’on croyait morte, et Serena, la femme qui de chez elle a tout vu, ou tout cru voir.

Pour commander ce livre clique ICI



Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

NORDIK N 22

La Commission europenne dvoile un projet de directive contre les discriminations