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The Script, The Script

Voici un trio irlandais sur lequel il va définitivement falloir compter .

Avec The Script, premier album éponyme, ils mettent d’emblée la barre haut, en proposant un son jamais entendu auparavant, c’est-à-dire une pop à la fois rock, soul et R’n’B, enrichie d’un flow souvent Hip Hop.

L’album a été écrit dans de biens tristes circonstances, alors que le guitariste Mark Sheeman perdait sa mère et que le chanteur Danny O’Donaghue disait adieu à son père. Les textes, très recherchés de l’opus, s’en ressentent, et retranscrivent une émotion sans pareil, dopée par la voix unique de Danny, qui avoue s’inspirer des sonorités du violon pour la travailler.

La jeunesse des trois (jolis) garçons n’a pas été des plus heureuses, comme le raconte Mark Sheenan, et a comporté son lot de voitures volées et autres conneries habituelles.

Ces trois là ont sans doute trouvé en la musique une certaine providence, déclenchée par les révélations qu’on été Stevie Wonder, The Neptunes, ou encore le producteur Dallas Austin.
The Script nous offrent un bel album bourré de tubes, avec en tête We Cry, un véritable bijou, aux chours très « Like A Payer ».

Les morceaux à la fois pop, rock, folk et urbains et la voix envoutante du chanteur aux allures de Morten Harket (le chanteur de A-Ha), évoquent facilement The Farm (all together now en 1990), Sting, Justin Timberlake, ou encore les Maroon 5, mais la meilleure façon de se faire une idée est sans doute d’écouter, religieusement .

A ne pas manquer : I’m Yours la superbe ballade finale, et sa guitare sèche envoutant, et la non moins envoutante The man who can’t be moved, premier single .

N’hésite pas à consulter thescriptmusic.com/fr et myspace.com/thescript pour plus d’informations .




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