Si le nom improbable de Penguin
Prison n’est pas tout à fait inconnu des plus connaisseurs d’entre
vous c’est tout simplement par ce que derrière lui se cache Chris
Glover, remixeur émérite de Marina and The Diamonds, Passion
Pit, Kylie Minogue, Goldfrapp, Darren Hayes ou
encore Jamiroquaï …
Prison n’est pas tout à fait inconnu des plus connaisseurs d’entre
vous c’est tout simplement par ce que derrière lui se cache Chris
Glover, remixeur émérite de Marina and The Diamonds, Passion
Pit, Kylie Minogue, Goldfrapp, Darren Hayes ou
encore Jamiroquaï …
La rumeur d’un premier album éponyme se
faisait de plus en plus persistante depuis le succès en Grande Bretagne de
ses maxis de « A funny Thing » et « Animal Animal » et
les fans commençaient à avoir du mal
à contenir leur impatience.
faisait de plus en plus persistante depuis le succès en Grande Bretagne de
ses maxis de « A funny Thing » et « Animal Animal » et
les fans commençaient à avoir du mal
à contenir leur impatience.
Fin calvaire, et ils ne seront pas
déçus !
déçus !
Décrit par son label français (découvreur de
Charlie Winston !) comme un croisement entre le son de Hot
Chip et de Wham! il faut tout de suite remettre les pendules à
l’heure en prévenant que l’affaire n’est pas si simple que ça …
Charlie Winston !) comme un croisement entre le son de Hot
Chip et de Wham! il faut tout de suite remettre les pendules à
l’heure en prévenant que l’affaire n’est pas si simple que ça …
Ok les influences affichées vont du
funk des années 70-80 (James Brown, Prince, Michael
Jackson) à la pop des Scissor Sisters en passant par
le Nu-Disco de Jamiroquaï … mais Penguin
Prison propose probablement bien plus que ça : une véritable potion euphorisante qui fait voyager l’auditeur
entre une Funk digne des meilleurs Chic, Kool and The
Gang (« Golden Train ») ou Jamiroquai (« Don’t Funk with
my money »), à une transe trip-hop psychédélique ( « Something I’m
Not » ), en passant par une électro binaire rappelant Human
League ou Giorgio Moroder, à une pop-rock américaine
pure et dure ( « Desert Cold » ) ou une pop electro débridée,
sautillante, et ultra festive (« In The way »)
funk des années 70-80 (James Brown, Prince, Michael
Jackson) à la pop des Scissor Sisters en passant par
le Nu-Disco de Jamiroquaï … mais Penguin
Prison propose probablement bien plus que ça : une véritable potion euphorisante qui fait voyager l’auditeur
entre une Funk digne des meilleurs Chic, Kool and The
Gang (« Golden Train ») ou Jamiroquai (« Don’t Funk with
my money »), à une transe trip-hop psychédélique ( « Something I’m
Not » ), en passant par une électro binaire rappelant Human
League ou Giorgio Moroder, à une pop-rock américaine
pure et dure ( « Desert Cold » ) ou une pop electro débridée,
sautillante, et ultra festive (« In The way »)
La voix de Chris vaut aussi le détour
par sa capacité effarante à passer d’un grave eightie’s à la
Glenn Gregory (Heaven
17) ou Phil Oakey (Human League), sur « Funny Thing »
notamment, à un ton plus neutre évoquant Cut Copy, Fleetwood
Mac ou Howard Jones, puis à monter ensuite avec une facilité
déconcertante dans des aigües dignes des Bee-Gees et de
Michael Jackson …
par sa capacité effarante à passer d’un grave eightie’s à la
Glenn Gregory (Heaven
17) ou Phil Oakey (Human League), sur « Funny Thing »
notamment, à un ton plus neutre évoquant Cut Copy, Fleetwood
Mac ou Howard Jones, puis à monter ensuite avec une facilité
déconcertante dans des aigües dignes des Bee-Gees et de
Michael Jackson …
L’écoute du disque fait franchir à chaque
écoute un niveau de jouissivité supplémentaire, et ce qui fait sans doute le
plus plaisir c’est qu’il a un vrai côté ultra spontanné, jamais dans la
démonstration ou le côté putassier qu’on pourrait retrouver chez un certain
Mika par exemple …
écoute un niveau de jouissivité supplémentaire, et ce qui fait sans doute le
plus plaisir c’est qu’il a un vrai côté ultra spontanné, jamais dans la
démonstration ou le côté putassier qu’on pourrait retrouver chez un certain
Mika par exemple …
Pour ne rien gâter ce jeune homme roux
ultra-charmant est multi-instrumentiste. Véritable homme orchestre sur son album
on a parfois du mal à savoir s’il s’agit du projet d’un seul homme, ou d’un
véritable groupe de pop …
ultra-charmant est multi-instrumentiste. Véritable homme orchestre sur son album
on a parfois du mal à savoir s’il s’agit du projet d’un seul homme, ou d’un
véritable groupe de pop …
Découvert également en
coming-soon « coup de coeur » du Grand Journal de Canal+ , on
ne s’inquiète absolument pas sur le succès à venir de cet artiste très
prometteur !
coming-soon « coup de coeur » du Grand Journal de Canal+ , on
ne s’inquiète absolument pas sur le succès à venir de cet artiste très
prometteur !
EN SAVOIR PLUS : http://www.penguinprison.com/home/ http://www.myspace.com/penguinprison
AUDIO PLUS : Le très
addictif Golden Train (Penguin Prison club mix)
addictif Golden Train (Penguin Prison club mix)
Fair Warning