Dans une interview accordée au journal
« NNZ am Sonntag » parue le 4 décembre 2011, l’évêque ultra conservateur
Vitus Huonder du diocèse de Coire en Suisse (le plus important du pays),
s’attaque à certaines évolutions de la société qu’il est loin de considérer
comme un progrès.
« NNZ am Sonntag » parue le 4 décembre 2011, l’évêque ultra conservateur
Vitus Huonder du diocèse de Coire en Suisse (le plus important du pays),
s’attaque à certaines évolutions de la société qu’il est loin de considérer
comme un progrès.
Le prélat critique d’abord l’avis favorable
au droit à l’adoption par des familles homosexuelles émis en Novembre dernier par la commission du Conseil des
Etats, qu’il juge inacceptable sur le plan éthique.
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au droit à l’adoption par des familles homosexuelles émis en Novembre dernier par la commission du Conseil des
Etats, qu’il juge inacceptable sur le plan éthique.
Huonder estime que seule la
présence d’un homme et d’une femme permet aux enfants de développer une
« identité sexuelle sûre » : Chaque enfant a
droit à un père et à une mère, un droit dont il est exclu s’il vit avec des
personnes du même sexe, ce n’est pas parce que fait nombre d’entre
eux vivent déjà avec deux papas ou deux mamans, que la situation
est plus tolérable.
présence d’un homme et d’une femme permet aux enfants de développer une
« identité sexuelle sûre » : Chaque enfant a
droit à un père et à une mère, un droit dont il est exclu s’il vit avec des
personnes du même sexe, ce n’est pas parce que fait nombre d’entre
eux vivent déjà avec deux papas ou deux mamans, que la situation
est plus tolérable.
L’évêque de Coire s’attaque aussi à la
question de l’éducation sexuelle à l’école, et préconise que les parents
puissent dispenser leur progéniture de cet enseignement. Selon lui
« Il n’y a pas de problème quand l’éducation
sexuelle donne accès à des connaissances, comme par exemple sur le sida.
Cela devient beaucoup plus problématique quand les enfants sont invités à
utiliser un préservatif ». Le prélat n’hésite pas à parler d’une « attaque de l’Etat à la liberté religieuse et à la
responsabilité éducative des parents ».
question de l’éducation sexuelle à l’école, et préconise que les parents
puissent dispenser leur progéniture de cet enseignement. Selon lui
« Il n’y a pas de problème quand l’éducation
sexuelle donne accès à des connaissances, comme par exemple sur le sida.
Cela devient beaucoup plus problématique quand les enfants sont invités à
utiliser un préservatif ». Le prélat n’hésite pas à parler d’une « attaque de l’Etat à la liberté religieuse et à la
responsabilité éducative des parents ».