Début Mai, deux masseurs professionnels ont porté plainte contre lui pour harcèlement sexuel. Selon eux l’acteur aurait eu des gestes déplacés à la fin de leur séance de massage respectives, portant sa main à leurs parties intimes, puis se mettant en colère suite à leur refus d’obtempérer… Les faits n’ont pas pu être vérifiés car aucun témoin n’a assisté à la scène, mais on a appris depuis par un autre masseur que l’acteur serait carrément interdit de séjour dans un hôtel new-yorkais Peninsula pour cause d’agissements similaires.
Un troisième homme, Fabian Zanzi s’est également manifesté au cours du mois de Mai. En 2009 alors qu’il était membre du personnel navigant d’une croisière, il se serait vu proposer par l’acteur la somme rondelette de 12 000 dollars pour passer un moment intime avec lui dans sa cabine VIP.
Les rumeurs sur l’homosexualité de John Travolta ne sont pas vraiment nouvelles, et son ancienne secrétaire particulière Joan Edwards les a dernièrement encore attisées, en déclarant au National Enquirer qu’elle était au courant de son homosexualité et qu’il avait même vécu une relation amoureuse de 6 ans avec Doug Gotterba, un pilote qui n’a pas confirmé l’histoire, mais que son compagnon actuel a corroborée.
L’homosexualité en soi n’est bien sûr pas un crime ni une tare, mais dans le cadre de l’Eglise de Scientologie, à laquelle appartient John Travolta depuis des années, les homosexuels sont qualifiés de »déviants » qui doivent suivre des thérapies réparatrices pour se guérir de leur pseudo maladie. L’avenir nous dira peut-être si cela constitue ou non un des facteurs qui pousse l’acteur à nier en bloc les accusations de harcellement sexuel dont il fait l’objet, le nombre de plaignants s’élevant désormais à sept…
Comme si cela ne suffisait pas, c’est Un écrivain qui poursuit désormais Travolta et son avocat Marty Singer. Robert Randolph, vient de sortir »You’ll Never Spa in This Town Again », un livre dans lequel il donne des détails sulfureux sur la vie de l’acteur, affirmant même avoir assisté personnellement à ses ébats sexuels avec d’autres hommes dans des Spa. L’acteur de Pulp Fiction et son avocat avaient réagi en déclarant aux médias que l’écrivain avait eu jadis des problèmes mentaux et qu’il avait même été pensionnaire d’un asile psychiatrique. Robert Randolph accuse les deux hommes d’avoir diffusé de fausses affirmations à son encontre de manière à décridibiliser son travail et à influencer les chances de distribution de son livre.