A l’affiche plusieurs ciné-débats autour de films symboles comme Boy de Julie Madsen ou une Femme iranienne de Negar Azarbayjani le lundi 11 mai au TAP Castille. Ou encore le mercredi 12 au Dietrich avec également deux films, l’un serbe, La Parade de Srdjan Dragojevic, l’autre français, Le Projet Sextoy de Mordin et Terki, un documentaire retraçant la vie d’une DJ des années 90 décédée prématurément.
Une lecture publique également suivie de débat sera proposée avec des extraits de « En finir avec Eddy Bellegueule » d’Edouard Louis mardi 12 à la maison de quartier de St Eloi.
Et vendredi 15 ce sera une rencontre avec Antoine Coutin, le marcheur solitaire. 3.500 km entre Bordeaux et Istanbul pour dénoncer l’homophobie dans les pays traversés à Pourquoi pas la ruche.
Le 16 mai, village associatif place Leclerc et marche des Fiertés (ex-Gay Pride) à partir de 15 h dans les rues avec Kiss in (embrassade publique) spectaculaire.
Source : La Nouvelle République
