Ironie et humour impertinent président la nouvelle campagne Canderel déclinée spécialement pour la presse gay et pour Têtu en particulier.
Puisé dans l’oeuvre d’Edmond Kiraz, un jeune « Parisien » filiforme grâce à Candérel se dore au soleil sur une branche d’arbre en disant : « J’en avais assez que l’on me traite de gros pédé ! ».
Depuis plusieurs années, Candérel, leader des « sucrettes sans sucre » en France, cherche à convaincre de ses réels bienfaits toutes les tranches d’age.
« Depuis longtemps, on tentait de convaincre la marque de s’intéresser aussi aux gays qui prennent soin de leur corps et de leur apparence » a expliqué à CitéGay Valérie Lombard, chargée du budget Canderel chez Young & Rubicam. « On sait déjà que 30 % des consommateurs de sucrettes sont des hommes. Les gays sont intimement liés aux tendances et le nouveau packaging en forme de carte de crédit leur correspond ».