Laurent Ruquier est amoureux. Et il a décidé de l’affirmer haut et fort. Dans un entretien accordé à Gala à paraître mercredi, l’animateur et humoriste dit tout ou presque sur l’élu de son coeur. Au passage, il raconte son attirance pour les garçons. Son premier critère incontournable : la beauté.
Gala : Comment en êtes-vous venu à préférer les garçons ?
L. R. : J’ai commencé à regarder les garçons pour savoir comment il fallait m’y prendre pour séduire les filles. Et à force de les observer, je me suis surpris à les aimer ; je cherchais en eux la beauté que je ne trouvais pas en moi. Car je dois l’avouer, la beauté, c¹est mon premier critère, c¹est dingue, j’ai honte !
Gala : Amoureux ?
L. R. : Oui. Pourtant j’étais en plein chagrin d¹amour quand je l’ai rencontré. C’était en boîte à Paris il y a quatorze mois, ça a été le coup de foudre.
Gala : Parlez-nous de lui
L. R. : Oh la la ! je n’aime pas ça ! Je ne veux même pas dire son nom ; il est beaucoup plus jeune que moi, la petite vingtaine. Il est génial, superbeau, gentil, intelligent, il chante tout le temps, il est joyeux, spontané. Je n’ai jamais été aussi heureux, épanoui.
Gala : Serait-il l’homme de votre vie ?
L. R. : J’en ai envie, et lui aussi.
Gala : A quand le Pacs ?
L. R. : Pendant un temps on y a pensé, mais, quatorze mois, c’est un peu tôt ; et puis il y a cette grande différence d’âge !
Gala : Cela vous fait peur ?
L. R. : Evidemment, mais en même temps c’est une belle histoire, je lui apporte beaucoup, il m’apporte beaucoup, quand je le retrouve le soir après le travail, je me sens plus rassuré. Je relativise les aléas du métier. Et grâce à lui, moi qui avais une phobie des chevaux, je vais me mettre à l’équitation car il est excellent cavalier.
Gala : Son amour vous aide-t-il à vous accepter physiquement ?
L. R. : Il m’accepte, il m’aime, mais moi je ne m’aime toujours pas ni ne m’accepte.
Gala : Plus de femmes dans votre vie ?
L. R. : Si, il y a beaucoup de femmes dans ma vie et je les aime toutes.
Gala : Mais pas au sens physique ?
L. R. : Je ne crois pas, non, plus maintenant. Mais on ne peut jurer de rien.
