Elle ne rend ni sourd, ni fou et pourrait bien jouer un rôle dans la protection de ses adeptes face au risque du cancer de la prostate : la pratique très régulière de la masturbation est vivement conseillée selon les résultats d’une étude australienne.
Les hommes qui se branlent régulièrement présentent moins de risques d’avoir un cancer de la prostate. Réalisée entre 1994 et 1998, cette étude a concerné plus de 2000 sujets âgés de 40 à 70 ans. Le risque de cancer chute réellement pour ceux qui éjaculent plus de cinq fois par semaine : un tiers de risques en moins !
CQFD : L’accumulation du sperme dans la prostate serait un facteur de risque.