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Ni d’Eve ni d’Adam

On attendait avec impatience qu’Amélie Nothomb cesse de nous sortir des livres insipides. Celui nous ramène dans les meilleurs crus Nothombien à l’époque du bien aimé « Stupeurs et tremblements ». Alors, aurait-elle le Goncourt avec ce livre là ?

« Stupeur et tremblements pourrait donner l’impression qu’au Japon, à l’âge adulte, j’ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d’Ève ni d’Adam révélera qu’à la même époque et dans le même lieu, j’ai aussi été la fiancée d’un Tokyoïte très singulier. »

Amélie Nothomb
Les romans lesbiens d’Amélie Nothomb. Si vous ouvrez le dictionnaire que Michel Zumkir a consacré à notre phénomène des lettres (Amélie Nothomb de A à Z : portrait d’un monstre littéraire) vous chercherez en vain, à la lettre N, une entrée sur le lesbianisme. Et pourtant, s’il est bien un thème récurrent d’une bonne moitié de ses romans (de « Mercure » jusqu’à « Antéchrista »), c’est la problématique du « je t’aime, moi non plus » entre femmes. Journaliste butch dans « Hygiène de l’assassin », petite fille horrifiée par les carpes parce qu’elles lui font penser aux garçons dans « Métaphysique des tubes » ou encore lesbienne sadique très fem’ dans « Stupeur et tremblements », le lesbianisme est un thème qui cristallise l’inspiration de la brillante romancière belge.

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