Enfin Martin est de retour, avec de tous nouveaux titres plein de fraîcheur et d’optimisme, mais il faudra encore attendre le 23 Février pour tous les découvrir !
Pour te faire patienter, sache que toute la tendresse et la sensibilité du joli garçon sont à nouveau présentes dans ce déjà 3ème album, dont la conception a nécessité plus de temps que prévu et qui porte, tiens-toi bien, le titre évocateur de « 1800 désirs ».
L’amour, et oui toujours l’amour!
C’est le thème principal de cet opus, toujours aussi solaire, gorgé de mélodies simples et fédératrices, et marqué par des textes qui savent vraiment parler au cour de chacun(e) d’entre nous.
Pour l’aider à la direction musicale, l’interprète de l’inoubliable « Julien », s’est adjoint les services prestigieux d’un certain Régis Ceccarelli (batteur de Tété, Keren Ann et Jean-Louis Murat, et producteur de Henri Salvador et Abd El Malik). Martin a co-écrit les titres avec Marie Richeux, Caroline Lesieutre, ou Benjamin Seilles, mais a aussi pour la première fois travaillé sur les mélodies avec de grands noms comme Jean-Loup Dabadie, Gérard Duguet Grasser (Julien Clerc), et Didier Golemanas (Vanessa Paradis, Johnny).
Avec « 1800 désirs », le premier titre de la track-list, on n’est d’entrée en terrain connu, et on retrouve avec plaisir la voix plus affirmée que Jamais, d’un Martin qui a manifestement mangé du Lion . La mélodie, impeccable, pop et catchy, capture l’esprit de manière instantanée. Un véritable rayon de soleil qui sonne comme une invitation au bonheur !
Avec le second titre « Elle disait, elle disait », on découvre avec surprise que Martin Rappeneau élargit son champs musical à la folk, grâce notamment à la guitare country d’Eric Sauviat.
La chanson est plus de l’ordre de la ballade dynamique, mâtinée de superbes arrangements et agrémentées notamment de l’intervention de hautbois .
Tout l’album bénéficie une fois de plus d’arrangements classieux, qui installent réellement Martin Rappeneau, au rang de digne successeur de Véronique Sanson, ou encore William Sheller et Michel Berger, avec un petit je ne sais quoi de crooner jazzy en plus.
« Sans Armure », premier single extrait de l’album, donne l’irrépressible envie de taper dans les mains et de taper du pied, et raisonne comme un véritable hymne à la liberté et à l’amour.
« Ce n’était pas moi » est la seule chanson qui ne parle pas d’amour, mais de la réticence de Martin à chanter les malheurs du monde, non par indifférence mais par honnêteté.
Tout autour, s’organisent de superbes hymnes et ballades, comme par exemple « Julie & Sarah », où la voix du jeune chanteur prend des allures angéliques.
Mixé à New-York par Michael Brauer, à qui l’on doit les albums de pointures comme Coldplay, KT Tunstall et James Morrison, « 1800 désirs » est une nouvelle pièce merveilleuse, gorgée de tempos solaires et salvateurs, que tu ne pourras qu’apprécier !
Pour plus d’infos : myspace.com/martinrappeneau