Le pavillon Baltard aime les gueules, les physiques et parfois aussi les voix. Aussi, la prestation de Luce, la fétichiste des poils, a enchanté hier la Nouvelle star qui comme toutes les resucées de radio-crochets, finissait par sentir le réchauffé.
C’est un Gigi l’amoroso bien vivant qu’a interprété tout en finesse celle à qui les rondeurs vont à merveille et qu’on aurait pu voir à l’affiche du film d’effeuilleuses de Mathieu Amalric, une «Tournée». Luce a offert hier une résurrection.
Le défi était pourtant grand concernant une chanson de 1974, tellement associée à son interprète qu’on l’imaginait difficilement chantée par une autre. Mais le plus simple, c’est d’écouter et de voir…
La version de Dalida
Juste parce que tous les gays ont pleuré après s’être fait larguer sur cette chanson, qui était la face B de Gigi l’amoroso