Contrairement à ce qu’il annonçait dans son premier single
très bien accueilli il y a quelques mois, le beau gosse « Rhâââ Lovely »
Jérôme Van Den Hole, n’est définitivement pas sur le point
de « s’en aller » et on ne va pas s’en plaindre!
très bien accueilli il y a quelques mois, le beau gosse « Rhâââ Lovely »
Jérôme Van Den Hole, n’est définitivement pas sur le point
de « s’en aller » et on ne va pas s’en plaindre!
Alors qu’on s’attendait à une sortie logique
de « Debout » son incroyable duo avec la chanteuse Camille,
c’est finalement le titre « Boum Boum » qui a été choisi pour continuer
de promouvoir l’album de Jérôme.
de « Debout » son incroyable duo avec la chanteuse Camille,
c’est finalement le titre « Boum Boum » qui a été choisi pour continuer
de promouvoir l’album de Jérôme.
Titre bien balancé avec des morceaux de
refrain imparable, du swing, du groove, du crooner et des shalala dedans,
« Boum, boum » parle de manière à peine dissimulée du côté
« détonant » et « dangereux » de l’amour ou de l’acte sexuel …
refrain imparable, du swing, du groove, du crooner et des shalala dedans,
« Boum, boum » parle de manière à peine dissimulée du côté
« détonant » et « dangereux » de l’amour ou de l’acte sexuel …
Le thème dramatique d’une sorte de suicide
au sein d’un couple est développé sur un refrain catchy et désinvolte, comme la
plupart des paradoxes de l’amour traités dans l’album.
au sein d’un couple est développé sur un refrain catchy et désinvolte, comme la
plupart des paradoxes de l’amour traités dans l’album.
Au cas où certains ne l’auraient toujours
pas compris, le chanteur à la voix de velours aime cultiver le second degrés à
outrance, et c’est définitivement dans ce deuxième clip que son univers
humoristique semble s’épanouir à son maximum (le côté « narcissique et
cabotin » de celui de « s’en aller » en a peut-être rebuté
quelques-uns).
pas compris, le chanteur à la voix de velours aime cultiver le second degrés à
outrance, et c’est définitivement dans ce deuxième clip que son univers
humoristique semble s’épanouir à son maximum (le côté « narcissique et
cabotin » de celui de « s’en aller » en a peut-être rebuté
quelques-uns).
Superbement réalisé par Nicolas
Engel, il nous transporte au Japon où deux bandes rivales vont s’affronter
à coup de battles de Karaoké.
Engel, il nous transporte au Japon où deux bandes rivales vont s’affronter
à coup de battles de Karaoké.
D’un côté les Dragons Rouges, de l’autre les
Liens de Cuir, il n’y a plus qu’à choisir son camp!
Liens de Cuir, il n’y a plus qu’à choisir son camp!
La photographie est très réussie, et les
références cinématographiques font penser à une sorte de croisement entre
Kill Bill, West Side Story, Grease et Slumdog
Millionaire…
références cinématographiques font penser à une sorte de croisement entre
Kill Bill, West Side Story, Grease et Slumdog
Millionaire…
Un vrai court-métrage décallé, où on aimera
se moquer des personnages et de leurs expressions de bandes-dessinées, alors que
mine de rien, ils semblent vivrent un vrai moment d’angoisse …
se moquer des personnages et de leurs expressions de bandes-dessinées, alors que
mine de rien, ils semblent vivrent un vrai moment d’angoisse …
A quand le jeu vidéo sur une application smartphone
?
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