Les responsables de la Commission
Internationale pour les Droits des Gays et Lesbiennes (IGLHRC) ont
eu la mauvaise surprise de constater que l’accès à leur site internet avait été
bloqué en Indonésie, pour cause de »contenu pornographique ».
Internationale pour les Droits des Gays et Lesbiennes (IGLHRC) ont
eu la mauvaise surprise de constater que l’accès à leur site internet avait été
bloqué en Indonésie, pour cause de »contenu pornographique ».
L’organisation à but non lucratif,
qui travaille depuis 1990 au nom de personnes qui souffrent de discrimination ou
d’abus sur la base de leur orientation sexuelle, avait en
fait été alertée le 1er Février par un défenseur des droits de
l’homme en Indonésie que les deux opérateurs de téléphonie
mobile Telkomsel et IM2 avaient bloqué l’accès à son site, à la
demande du ministre de la Communication et l’information.
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qui travaille depuis 1990 au nom de personnes qui souffrent de discrimination ou
d’abus sur la base de leur orientation sexuelle, avait en
fait été alertée le 1er Février par un défenseur des droits de
l’homme en Indonésie que les deux opérateurs de téléphonie
mobile Telkomsel et IM2 avaient bloqué l’accès à son site, à la
demande du ministre de la Communication et l’information.
A partir de 21h les personnes qui
essayaient de se connecter ont eu la surprise de découvrir la phrase: »Le
site que vous essayez d’ouvrir n’est pas accessible car il contient des éléments
pornographiques ».
essayaient de se connecter ont eu la surprise de découvrir la phrase: »Le
site que vous essayez d’ouvrir n’est pas accessible car il contient des éléments
pornographiques ».
Dans un communiqué publié cette
semaine, le directeur exécutif de l’organisation Cary Alan Johnson réagit avec
colère: »Les gouvernements oppressifs ne peuvent pas arrêter la marée des
voix LGBT – qu’ils soient sur internet, dans les médias ou dans les rues ».
Et d’ajouter »Ce n’est pas la première fois que l’on tente d’organiser et
d’éduquer les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transgenres ainsi que
ceux qui les soutiennent par le biais de la censure d’État. Trop souvent, les
gouvernements utilisent le prétexte de la pornographie comme un écran de fumée
pour attaquer la liberté d’expression. L’IGLHRC soutient les défenseurs des
droits de l’homme en Indonésie dans sa lutte pour garder le web libre en ce qui
concerne le dialogue sur les questions fondamentales des droits de l’homme.
«
semaine, le directeur exécutif de l’organisation Cary Alan Johnson réagit avec
colère: »Les gouvernements oppressifs ne peuvent pas arrêter la marée des
voix LGBT – qu’ils soient sur internet, dans les médias ou dans les rues ».
Et d’ajouter »Ce n’est pas la première fois que l’on tente d’organiser et
d’éduquer les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transgenres ainsi que
ceux qui les soutiennent par le biais de la censure d’État. Trop souvent, les
gouvernements utilisent le prétexte de la pornographie comme un écran de fumée
pour attaquer la liberté d’expression. L’IGLHRC soutient les défenseurs des
droits de l’homme en Indonésie dans sa lutte pour garder le web libre en ce qui
concerne le dialogue sur les questions fondamentales des droits de l’homme.
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