L’événement culturel tourangeau se distingue chaque année par sa singularité, ses thèmes qui gravitent autour des désirs, des sexualités et des questions de genres, et sa volonté de faire évoluer les mentalités autour d’oeuvre cinématographiques, plastiques et vivantes.
Pour l’édition 2012, les organisateurs ont choisi le thème de »La petite musique du désir », dédié aux films qui réservent une place importante à la musique tout en sillonnant les rouages de nos désirs.
En partenariat avec la Cinémathèque de Tours, le Festival proposera aussi de découvrir une pièce exceptionnelle avec le film Carmen Jones, de 1955, bloqué par les héritiers de Bizet, en France, jusqu’en 1980.
Back to Top
Au programme aussi on pourra découvrir »En 80 jours », et »Jitters » deux films en avant-première, des inédits à Tours, avec notamment le très attendu »Week-end’‘, coup de cour de l’équipe du festival, des films de »reprises », féminins, féministes et musicaux avec »El Calentito » et »Itty bitty titty comittee », des courts-métrages, ainsi que le film diffusé en partenariat avec le CNP, »It’s elementary, talking about gay issues in school », qui pose la question : Comment expliquer l’homosexualité à l’école ?
Le jeudi 17 mai »journée internationale contre l’homophobie », sera célébré en partenariat avec LGP Région
Centre, avec la projection du poignant documentaire »Ouganda au nom de dieu ».
Centre, avec la projection du poignant documentaire »Ouganda au nom de dieu ».
Pour les expositions, les cinémas Studio accueillent du 4 au 31 mai le projet »1990 X Strike a pose » de FullMano et la galerie Oz’art propose, du 12 au 22 mai, les photographies de Bertand Labarre.
Et pour enfiévrer nos oreilles et nos corps, la soirée du samedi se poursuit au Temps Machine avec des concerts.