Sous l’Oeil bienveillant du fantôme Max, c’est une intrigue sentimentale mouvementée qui se déroule …
N’en finissant pas de clamer son admiration pour les beaux hommes, la Duchesse de Gerolstein préfère clamer : » Ah ! que j’aime les militaires, leurs moustaches et leurs plumets « , plutôt que de planifier son mariage avec le prince Paul, de l’état voisin . Une guerre est décidée par le tambour Puck, simplement pour « qu’il se passe quelque chose »… C’est le soldat Fritz, au sein de son régiment, qui gagne particulièrement les faveurs de la Duchesse . Celle-ci, dans un élan de générosité, le propulse généralissime, au détriment du général Boum, qui perd alors tout prestige … La duchesse ignore alors que Fritz aime et est aimé par Wanda la violoniste …
Neuf personnages plus délirants les uns que les autres sur scène, des costumes hauts en couleurs … De la joie, de la Gaité, des airs entrainants, toute la tradition de l’opérette est emmenée ici avec brio par cette troupe sympathique, et c’est plus que bien venu en ces périodes troublées …
LA GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN – Opérette d’Offenbach
Jusqu’au 30 Novembre 2001 au Tambour Royal, 94 Rue du Faubourg du Temple, 75011 Paris (M° Goncourt) Tarif : 150 Frs
Changement d’horaire : Mardi, Mercredi, Vendredi à 20h30 – Samedi à21h00 et Dimanche à 15h00